
Nous pensions rester deux trois jours au plus et nous sommes restes une semaine a La Paz. Inutile de vous dire que nous avons apprecie notre sejour dans cette ville que beaucoup decrient comme ´penible´et ne valant pas le detour.
Tout d´abord, les rues de La Paz sont bordees de mimosas, ce qui n´est pas une mince surprise a 3600 metres d´altitude.
Outre le jaune vif du minosa La Paz est une ville haute en couleur qui reserve des surprises a chaque coin de rue. Le plus dangereux est de traverser la rue. On ne sait jamais si le chauffeur va se decider a freiner au dernier moment ou si ses freins vont lacher et entrainer la voiture dans une course folle dans les rues en pente de la capitale.
Les trotoirs sont plus surs mais tout aussi encombres par des etals de fruits, de cacahouetes et de plats cuisines a l´hygiene douteuse. Les femmes y passent leur journee en brodant ou tricotant, assises sur leurs couvertures multicolores, sous leur jupes multiples, un enfant sur le dos a l´ombre de leur chapeau melon.
Au milieu de ce spectacle, il suffit de lever la tete pour voir les faubourgs de la capitale s´accrocher aux parois raides des montagnes qui delimitent la ville. On a l´impression que la ville n´en fini pas de monter vers le ciel.
Enfin le mont Illimani surplombe la ville du haut de son dome blanc ecarlate de 6450 m et nous rappelle que- meme au centre ville - les montagnes ne sont jamais tres loin en Bolivie.
Photos: http://www.flickr.com/photos/22788647@N08/sets/72157604554645123/
Tout d´abord, les rues de La Paz sont bordees de mimosas, ce qui n´est pas une mince surprise a 3600 metres d´altitude.
Outre le jaune vif du minosa La Paz est une ville haute en couleur qui reserve des surprises a chaque coin de rue. Le plus dangereux est de traverser la rue. On ne sait jamais si le chauffeur va se decider a freiner au dernier moment ou si ses freins vont lacher et entrainer la voiture dans une course folle dans les rues en pente de la capitale.
Les trotoirs sont plus surs mais tout aussi encombres par des etals de fruits, de cacahouetes et de plats cuisines a l´hygiene douteuse. Les femmes y passent leur journee en brodant ou tricotant, assises sur leurs couvertures multicolores, sous leur jupes multiples, un enfant sur le dos a l´ombre de leur chapeau melon.
Au milieu de ce spectacle, il suffit de lever la tete pour voir les faubourgs de la capitale s´accrocher aux parois raides des montagnes qui delimitent la ville. On a l´impression que la ville n´en fini pas de monter vers le ciel.
Enfin le mont Illimani surplombe la ville du haut de son dome blanc ecarlate de 6450 m et nous rappelle que- meme au centre ville - les montagnes ne sont jamais tres loin en Bolivie.
Photos: http://www.flickr.com/photos/22788647@N08/sets/72157604554645123/
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